
Notons que parmi ces inventions qui génèrent des champs électromagnétiques nous retrouvons le Radio Cellulo Oscillateur, un appareils qui selon lui agissent sur le bien-être des personnes. À noter que "Le radio cellulo oscillateur" nécessite un générateur indépendant comme source d'énergie pour générer son propre champ d'ondes qui pourra ainsi être modulé. À l'inverse, le "champ oscillant" sous forme de bracelet, ceinture ou bien collier, agissant en "self induction", oscille et résonne de façon autonome grâce aux ondes déjà présentes dans son environnement qu'elles soient naturelles ou artificielles.
Les circuits oscillants
Dans la continuité des travaux de son prédécesseur et précurseur le professeur d'Arsonval, Georges Lakhovsky a tenté de comprendre dans quelle mesure les ondes électriques naturelles et artificielles conditionnent nos vies et si nous pouvions nous en servir pour conserver une bonne santé et traiter les maladies.
La théorie et la méthode du "circuit oscillant" qu'il a inventée et concrétisée à travers le "collier Lakhovsky" semble une invention novatrice et efficace et les témoignages qu'il donne et dont je cite quelques exemples plus bas sont très persuasifs, à se demander même comment une telle technicité a pu être depuis à ce point occultée voire ostracisée.
Lakhovsky pensait que les ondes radioéletriques ne devaient pas seulement être considérées comme un moyen de communication, mais aussi et surtout comme étant le principe même sur lequel repose l'univers et en particulier les êtres vivants (voir sa théorie générale "L'universion'').
Il voyait la cellule vivante comme un petit oscillateur et résonateur électrique. Il expliquait que la cellule est constituée d'un noyau baignant dans un liquide, le protoplasma, entouré d'une membrane. Ce noyau est formé essentiellement de filaments tubulaires isolants contenant un liquide salin conducteur de l'électricité. Ces filaments, entortillés sur eux-mêmes, sont donc de vrais mini circuits oscillants comparables aux bobinages et enroulements des appareils électriques, ainsi la cellule vivante peut jouer le rôle d'un émetteur ou d'un récepteur d'ondes radioélectriques.
Pour notre chercheur, les organismes vivants, végétaux et animaux, sont donc des systèmes électromagnétiques maintenus en équilibre sous l'effet des radiations (cosmique ... ) et des réactions internes telles que celles de la nutrition. L'excès ou l'insuffisance de l'amplitude ou de la fréquence de cette radiation entraînerait ainsi un déséquilibre oscillatoire qui serait nocif pour l'organisme. Georges Lakhovsky a démontré que tout organisme vivant est assimilable à un système de circuit oscillant à très haute fréquence, puisque constitué par des cellules qui sont elles-mêmes des oscillateurs élémentaires. Comme la vibration d'un circuit oscillant est maintenue par l'énergie rayonnante, il est aisé de saisir que l'environnement électromagnétique, ondulatoire, est une source essentielle d'énergie qui fait vivre et vibrer les cellules. Tous ces travaux paraissent confirmer que les maladies sont des déséquilibres oscillatoires. Ces déséquilibres peuvent avoir plusieurs sources et provenir de l'altération du champ des ondes cosmiques et environnantes ou par suite d'interférences avec un champ secondaire à la surface du sol ou d'un rayonnement astral, solaire, lunaire particulier comme la pleine lune réputée pour ses effets sur l'homme, ou d'une pollution électromagnétique ou bien encore d'une altération des constantes électriques de la cellule vivante (traumatismes, microbe, poison).
Mais qu'est-ce qu'un circuit oscillant ? En électricité, pour qu'un circuit puisse être le siège d'oscillations électriques, il est indispensable qu'il soit doué de self-induction (spirales ou bobines) et de capacité (condensateur). Il faut donc un circuit fermé avec une bobine et un condensateur. Lorsque ces conditions sont réunies, un choc électrique ou magnétique agissant sur le circuit constitué, donne naissance à des oscillations (électriques et/ou magnétiques). Il se crée alors une induction dans le circuit électrique et suivant les conditions, ce phénomène peut se répéter et s'entretenir. Rappelons que le phénomène de l'induction se produit quand un courant électrique instantané prend naissance dans un circuit conducteur lorsque le flux magnétique qui traverse ce circuit varie. La self-induction comme son nom l'indique, est un cas particulier de l'induction, lorsque ce phénomène s'exerce sur le circuit même qui lui donne naissance, créant une sorte d'auto réaction. Pour Lakhovsky nos cellules agissent perpétuellement ainsi. Nos cellules oscillent grâce aux ondes perçues et un équilibre perpétuel se crée. Le vivant est électrique
Pour comprendre sa vision et quelques notions physiques ou électriques comme un oscillateur ou la résonance, il suffit de prendre l'exemple d'un poste de radio FM. Le circuit électrique d'un poste radio se comporte comme un oscillateur avec une fréquence ajustable. C'est ainsi que l'on peut capter une radio spécifique à une certaine fréquence. Ce type de circuit électrique est propre au tuner-radio et aux transmissions sans fil. On appelle ces circuits des circuits LC, c'est un circuit fermé constitué de deux éléments : une bobine électrique L et un condensateur C. Le L correspondant à la bobine et donc à la cellule vivante ou le collier dans notre cas, et le C correspond au condensateur et à sa capacité qui correspond à l'énergie et la radiation par des ondes environnantes pour notre cellule et pour notre collier (sachant que la cellule peut aussi être créatrice d'énergie). Je rappelle qu'un condensateur a la capacité d'emmagasiner et de restituer de l'énergie.
Nos cellules se comportent donc comme des circuits LC et elles résonnent lors d'un fonctionnement optimal. Concernant le phénomène de la résonance électrique justement, elle se produit dans un tel circuit électrique à une certaine fréquence ou les forces de ces deux éléments, L & C, s'annulent ou s'accordent et, ramené au vivant, cela correspond à l'équilibre et aux conditions idéales pour qu'une cellule vive et prospère.
Vous avez aussi l'appellation circuit RLC, quand vous introduisez une résistance R dans votre circuit qui permet de varier votre intensité électrique par exemple et donc l'intensité du champ magnétique induit. Un microbe pourrait être une résistance parasite impactant la bonne oscillation des cellules avoisinantes et donc leurs équilibres. Rappelons que lorsqu'un courant électrique traverse une bobine (L) cela crée un champ magnétique autour de la bobine et ceci est facilement vérifiable en mettant une boussole à l'intérieur de cette même bobine, boussole qui sera alors désorientée. Pour bien appréhender toutes ces notions d'électricité et de magnétisme, il y a aussi l'exemple de l'alternateur d'une voiture dont le rotor, qui est un bobinage est mis en rotation par la force motrice créée par le moteur de la voiture.
Autour de ce rotor, on retrouve le stator, qui lui aussi est un bobinage mais fixe. La rotation du rotor crée un champ magnétique et des courants induits dans le bobinage du stator et donc un courant électrique dans celui-ci qui sera suffisant pour alimenter les appareils électriques du véhicule. Évidemment cela fonctionne dans les deux sens, c'est pour cela qu'inversement, un moteur tourne, grâce aux courants envoyés dans le stator pour créer des forces ou champs magnétiques qui vont alors mettre en rotation le rotor. L'alternateur d'une voiture ou d'une éolienne n'est autre, dans le principe, qu'un moteur inversé. Nous avons donc compris que nos cellules, chainons élémentaires pour tout être vivant, se comportent comme des émetteurs et récepteurs d'ondes. Nos cellules sont des circuits oscillants opérant à l'image des bobinages d'appareils électriques influencés par l'environnement électromagnétique.
Georges Lakhovsky a démontré à travers ses expériences que l'oscillation cellulaire des êtres vivants est entretenue par les radiations cosmiques. Le hic, c'est la variation de ces ondes du fait de la rotation de la Terre mais aussi de la pollution électromagnétique, mais cette variation peut également être influencée par la nature du sol par exemple. La grande variation de ces ondes explique la difficulté de maintenir un équilibre cellulaire chez les êtres vivants et donc une bonne santé constante. Toujours selon Georges Lakhovsky, en l'absence de pollution électromagnétique, et surtout si les ondes cosmiques étaient constantes, nous ne connaîtrions pas la maladie, ni même la souffrance. Selon lui, le secret du maintien d'une bonne santé peut s'obtenir en régulant le champ d'ondes autour d'un sujet.
Aujourd'hui une telle conception peut paraître absurde aux yeux d'une médecine officielle actuelle qui se base essentiellement du point de vue de la chimie et des molécules qui en résultent. Notons toutefois que la médecine moderne utilise les ondes, les rayons X par exemple, mais l'usage qu'elle en fait et la conception qu'elle en a est bien différente de ce qui est décrit dans cet article, voire diamétralement opposé.
Le microbe : Concernant le microbe, notre chercheur nous explique que malgré l'imaginaire ou la croyance populaire, celui-ci n'est pas un animal microscopique venant dévorer les cellules saines ou un élément agissant comme une substance corrosive. Pour Georges Lakhovsky, le microbe, est lui aussi un circuit oscillant qui par couplage avec les cellules saines, force celles-ci à osciller sur une fréquence différente de leur propre fréquence ou bien les étouffe en introduisant dans le circuit de ces cellules des résistances électriques que l'on nomme "toxines" ou encore émet un rayonnement parasite.
Dans cette guerre des radiations, lorsque celles des cellules microbiennes prennent le dessus, elles provoquent des maux et des désagréments pour la santé.
Rappelez-vous du précédent article dans lequel nous parlions de la récurrence de la grippe sans que nous puissions l'expliquer. La grippe dont les descriptions étaient restées constantes pendant des siècles, a changé de caractère vers 1889. Depuis l'antiquité, la grippe était connue comme une maladie capricieuse et imprévisible qui survenait sans avertissement et disparaissait soudainement et mystérieusement. Elle avait reçu son nom Influenza parce qu'on croyait que ses cycles de manifestation étaient régis par la course des étoiles. Mais à partir de 1889 elle revient soudain tous les ans partout dans le Monde. Ces manifestations grippales étaient-elles dues, effectivement, par le passé, au changement de la position de la Terre et à son alignement dans l'espace, modifiant ses radiations ? Et l'époque charnière de la fin du XIXe siècle, concomitante avec l'émergence de l'usage de l'électricité, peut-elle expliquer la désormais constance de la grippe ?
Au-delà de la pollution de l'environnement par les ondes, Lakhovsky est parvenu à montrer que des causes naturelles comme la nature du terrain pouvaient être aussi la source de déséquilibres. Il a effectué des statistiques comparatives et corrélatives entre les types de sols et la mortalité par le cancer sur Paris et beaucoup de villes de France. Il en a conclu qu'il existait une corrélation entre la nature géologique du sol et la densité de cancers dénombrés.
Lakhovsky nous rappelle que les oscillations électriques se propagent dans les isolants et les traversent mieux que les conducteurs parce qu'elles n'y sont pas absorbées. A contrario, les radiations sont absorbées sur une faible profondeur par les terrains conducteurs imperméables aux ondes comme l'argile, les limons, les minerais de fer ... Cette absorption incomplète provoque à la surface de la couche conductrice des courants intenses qui interagissent avec les champs d'ondes superficielles. Il y aurait alors comme une réfraction parasitaire induite par la nature du terrain. Cette réfraction parasitaire interférerait sur l'équilibre oscillatoire des êtres vivants présents en surface et donc sur leur santé. À noter qu'il y a aussi un rapport avec la localisation de la source d'eau bue, dont le sol doit correspondre avec le lieu où vit la personne qui la boit. Mais c'est encore une autre histoire ... Pour éviter ces effets néfastes, il est primordial, selon Lakhovsky, de réguler le champ électromagnétique au voisinage de l'organisme vivant. On obtient ce résultat en agissant soit sur les constantes électriques de la cellule en modifiant sa composition chimique, soit en plaçant à l'entour du sujet un circuit oscillant faisant fonction de filtre électrique.
Ce qu'il y a d'intéressant avec les inventions de Lakhovsky, et notamment avec le circuit oscillant en self induction comme le "collier Lakhovsky''. C’est à la fois la simplicité de sa conception mais aussi sa capacité à utiliser l'ensemble du spectre d'ondes présentes qu'elles soient naturelles ou artificielles et surtout parasites, pour se protéger d'elles-mêmes et donc de leurs possibles effets néfastes. Par ailleurs, pour son invention la plus simple mais digne d'intérêt, notre chercheur semble privilégier le collier et la ceinture au détriment d'un bracelet unique ( ou idéalement 2) pour une question d'homogénéité et de centrage des effets sur le sujet.
Selon Georges Lakhovsky, le champ créé par le "circuit oscillant" est constant, doux, et agirait toujours de façon favorable à la vibration de la cellule, la rendant plus vigoureuse et expliquant les rétablissements bénéfiques de patients malades. Les découvertes de Georges Lakhovsky ont été appliquées avec succès dans des cliniques et hôpitaux, en France comme à l'étranger, sur de nombreux malades et sur l'indication de leur médecin. La mise en pratique de ses méthodes ont permis de recueillir des témoignages de malades qui ont été répertoriés notamment dans le livre Les ondes qui guérissent. On peut citer le professeur Sordello Attilj cancérologue et directeur du service de radiologie de l'hôpital de San Spirite in Sassia à Rome qui a obtenu par ces méthodes des résultats si bons qu'il a présenté un rapport au congrès de radiologie de Florence en mai 1928.
Conclusion
Certaines inventions de Georges Lakhovsky sont facilement reproductibles et leurs effets vérifiables, comme le collier, donnant à chacun la possibilité de se forger sa propre opinion. Elles pourraient soulager des malades et certaines pathologies et il n'y a qu'un pas à faire pour se dire qu'elles pourraient aussi prévenir des désagréments dus aux ondes parasites de la téléphonie mobile ou des tours 5G par exemple. C'est une hypothèse à vérifier. Les recherches de Georges Lakhovsky sont passionnantes et très larges. Je n'en ai abordé qu'une infime partie dans cet article et j'invite le lecteur à les découvrir à travers ses livres. La redécouverte de ses travaux apporte un éclaircissement, voire une révélation, sur la conception de la vie, de l'équilibre de notre être et la façon dont nous interagissons avec l'environnement.
Ne négligeons pas les ondes, quelles qu'elles soient, même si nous ne les voyons pas...